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Photo : orge. M.-F. Delannoy
Commençons par la réglementation. Elle touche la qualité sanitaire des grains « par les deux bouts » : d'une part elle fixe des exigences sanitaires, d'autre part elle encadre les moyens de préserver cette qualité.
Réglementation
P 16, point de situation
Quoi de neuf - ou en attente - dans la réglementation des mycotoxines, fongicides, insecticides de stockage, auxiliaires de lutte biologique et rodenticides ? Récapitulatif.
Laboratoires
p. 21, aperçu des évolutions
Coup d'oeil sur le paysage de l'analyse des mycotoxines des grains. Six laboratoires présentent leurs nouveautés.
Contaminants naturels
p. 24, toxines académie
Lors d'une séance à l'Académie d'agriculture de France sur les contaminants naturels des végétaux, les mycotoxines classiques des grains et l'ergot du seigle étaient en vedette.
p. 28, d'où part le programme ?
Quasagro, projet de recherches coordonnées sur les contaminants en grandes cultures, débute. Occasion de faire le point.
p. 32, le blé, le DON et la récolte 2016
La moisson de blé 2016 a permis d'apprendre du nouveau sur le DON, la mycotoxine de fusariose la plus connue.
Du côté des rongeurs
p. 36, nouveau diagnostic
La protection des grains contre les rongeurs doit être adaptée au type de lieu et à l'espèce présente. Mais aussi, si possible, à son statut de résistance aux rodenticides et de portage ou non de zoonoses(1). Un nouveau service utilisant la biologie moléculaire va permettre d'améliorer le diagnostic.
p. 39, les quatre saisons du contrôle
La protection antirongeur dépend aussi de la saison qui influence la mise en oeuvre de tout plan de dératisation. Maîtres-mots : prévention, action précoce, pose anticipée des pièges et/ou postes d'appâtage.
(1) Zoonose = maladie d'origine animale, mais transmissible à l'homme
