Retour

imprimer l'article Imprimer

DOSSIER - Outils d'aide à la décision les alliés sur qui compter

Les outils d'aide à la décision dans le dispositif des CEPP

MAUD BLANCK ET CHRISTIAN HUYGHE, Inrae - Paris. - Phytoma - n°732 - mars 2020 - page 24

Deux éléments clés permettent de classer les OAD pouvant prétendre au dispositif des certificats d'économie de produits phytopharmaceutiques : le modèle d'évolution du bioagresseur et le mode de distribution de l'outil.
Les céréales sont une des cultures concernées par les propositions de fiches CEPP. Photo : J. Weber - Inrae

Les céréales sont une des cultures concernées par les propositions de fiches CEPP. Photo : J. Weber - Inrae

Fig. 1 : Typologies de transmission de l'information entre l'outil et l'agriculteur

Fig. 1 : Typologies de transmission de l'information entre l'outil et l'agriculteur

Certains outils d'aide à la décision (OAD) sont développés pour déterminer le moment idéal d'intervention phytosanitaire. Leur but est de rendre accessible des modélisations complexes de l'évolution de maladies ou ravageurs en fonction de multiples paramètres, notamment climatiques. La diversité de ces outils et des propositions les décrivant dans les dossiers de fiches action a poussé la commission d'évaluation du dispositif des CEPP à définir une méthode pour les évaluer spécifiquement en assurant une cohérence globale.

Une commission CEPP d'experts indépendants

Depuis sa création, la commission indépendante d'évaluation CEPP étudie les propositions de fiches actions qui lui sont proposées dans le but de rendre un avis au ministère en charge de l'agriculture. Pour les OAD, les propositions reçues par la commission sont très diverses en termes de mode de diffusion de l'outil vers les agriculteurs et de modèles sous-jacents. Les cultures concernées par ces propositions sont essentiellement les céréales, les pommes de terre et la vigne.

La méthode présentée dans cet article est maintenant utilisée pour traiter l'ensemble des fiches proposant la reconnaissance d'un outil de prévision des risques et d'aide à la décision vis-à-vis des attaques d'un bioagresseur. Elle peut sans difficulté être utilisée pour une prestation d'accompagnement à l'utilisation d'un tel modèle. Les OAD actuellement intégrés dans le dispositif des CEPP ont été évalués et leurs économies potentielles quantifiées à la lumière de cette méthode.

Typologies d'outil d'aide à la décision

Modes de transmission de l'information

Entre l'été 2015 et décembre 2017, la commission d'évaluation des fiches action CEPP a reçu dix-sept fiches concernant les OAD. Il s'agissait d'outils utilisables par l'agriculteur seul ou de l'accompagnement de l'exploitant basé sur les prédictions de risque d'un OAD. Les typologies de transmission de l'information entre l'outil et l'agriculteur sont très variables (Figure 1).

Modèle épidémiologique et interprétation des résultats

Dans tous les cas, un modèle épidémiologique est au coeur de l'outil. La commission évalue donc en premier lieu ce modèle :

- comment a-t-il été conçu ?

- quelles sont ses performances en matière de prédiction des dynamiques de la maladie ou du ravageur suivi ?

- de quels paramètres tient-il compte ?

L'OAD mobilise le niveau de risque proposé par le modèle épidémiologique, et y ajoute des règles de décision et des options permettant à chaque utilisateur de déterminer la pertinence d'une intervention et le moment d'intervention le plus adapté en fonction des conditions particulières de ses parcelles.

C'est ainsi qu'un modèle épidémiologique peut être mobilisé par un outil sommaire, produisant uniquement le niveau de risque calculé en tenant compte d'un nombre limité de paramètres et d'une règle de décision d'intervention. Ces outils sommaires laissent alors des libertés d'interprétation à l'utilisateur sur les paramètres dont l'outil n'aurait pas tenu compte : par exemple, le niveau de résistance des variétés utilisées, ou encore la variabilité des risques en fonction des conditions locales... D'autres outils plus élaborés intègrent les précédents traitements, leur durée d'action, les variétés semées, les précédents culturaux, des observations du stade phénologique de la culture...

Par ailleurs, il y a in fine deux types d'utilisateurs de ces outils :

- l'agriculteur peut utiliser lui-même l'outil via diverses interfaces (ordinateur, tablette, smartphone...) ;

- ou le conseiller se charge de la lecture et de l'interprétation spécifique des indications de l'outil pour en faire bénéficier les agriculteurs de son réseau et les accompagner, en groupes ou individuellement.

L'ensemble de ces combinaisons possibles de mise en oeuvre d'un OAD pour un même modèle épidémiologique initial explique la méthodologie d'évaluation mise en oeuvre par la commission.

Méthodologie d'évaluation des OAD

Une évaluation en deux temps

La précision des sorties de l'OAD est déterminée par la qualité du modèle épidémiologique qui le fonde, des paramètres qu'il intègre et de la règle de décision proposée. Ainsi, il est indispensable que la commission puisse avoir connaissance du ou des modèles d'évaluation des risques épidémiologiques qui sont à l'origine des OAD et du conseil fourni aux agriculteurs. Le second temps est la description du mode de diffusion auprès des agriculteurs de ces sorties. La commission demande donc que les OAD soient présentés selon ces deux niveaux.

Analyse des modèles épidémiologiques ou d'analyse du risque

La première étape d'évaluation concerne le modèle de prévision du risque utilisé par l'outil. L'objectif est de déterminer la valeur de l'économie possible lorsque le modèle épidémiologique et sa règle de décision sont mis à profit au maximum de leurs potentialités (valeur d'économie M). Cette valeur peut être mise en évidence dans plusieurs situations :

- les dynamiques produites par le modèle sont confrontées aux observations d'un témoin non traité afin d'évaluer la capacité du modèle à prévoir les moments où l'intervention sera réellement nécessaire et efficace ;

- l'utilisation par un expérimentateur qui suit scrupuleusement les recommandations et quantifie à la fin de la saison l'économie moyenne permise par les modifications des traitements. L'économie est quantifiée par rapport à un témoin qui peut être la moyenne nationale pour l'usage considéré.

La valeur d'économie M est associée au couple [modèle M ; règle de décision] et utilisée comme référence d'économie théorique permise par les OAD utilisant le couple [modèle M ; règle de décision]. C'est cette valeur qui représente la valeur théorique de performance de l'outil à prédire le moment le plus opportun de traitement.

Dans le cas où un OAD utiliserait plusieurs modèles contre plusieurs bioagresseurs, ce n'est pas forcément la somme des économies de chaque modèle qui est prise en compte. L'auteur de la fiche doit expliquer comment l'OAD évite les traitements redondants dans le cas où le traitement contre un des bioagresseurs a une répercussion sur l'évolution d'un autre bioagresseur du cortège observé.

Demande documentaire minimale de la commission

Pour étudier la demande d'intégration d'un OAD dans le dispositif, les experts demandent :

- un recul d'au moins trois années d'expérimentation en parcelles d'essais sur des sites représentatifs de la zone de la culture concernée. Cette profondeur expérimentale permet le calcul de la valeur d'économie M. Dans le cas des cultures mineures, il pourra y avoir au cas par cas des dérogations à cette règle justifiées par le faible nombre d'expérimentations organisées pour ces cultures chaque année ;

- une présentation des paramètres utilisés pour alimenter le modèle ;

- une description succincte de l'histoire de la construction du modèle.

Une note de la commission, régulièrement mise à jour, sera mise en ligne sur le site CEPP(1) et sur ÉcophytoPIC(2) pour donner la liste des modèles lui ayant été soumis et permettant une économie d'utilisation des produits phytopharmaceutiques ainsi que leur valeur d'économie M retenue par la commission. Sur la base de cette information, les distributeurs des outils utilisant ces modèles pourront déposer des fiches complémentaires concernant les prestations associées.

Analyse des modalités d'accompagnement de l'utilisateur final

Le demandeur réalise une fiche particulière pour présenter le cahier des charges de distribution de l'OAD et indiquer ce qui est mis en oeuvre pour transmettre les prédictions de l'OAD aux agriculteurs et faciliter la mise en oeuvre des recommandations. Cette description peut être réalisée indépendamment de celle du modèle, par un acteur différent. L'objectif est d'expliquer à la commission la prestation réalisée et en quoi elle permet de réaliser l'économie de produits phytopharmaceutiques.

Quatre grandes familles d'accompagnement de l'utilisateur final sont déterminées :

• Catégorie 1 : les OAD sont utilisés par les conseillers/techniciens afin de servir de base à un conseil/accompagnement individuel. Dans ce cas, l'agriculteur a pour interlocuteur direct un technicien, il n'utilise pas seul l'OAD. L'outil est paramétré précisément pour donner des informations spécifiques aux parcelles et à leurs caractéristiques propres en termes de suivi météorologique et de sensibilité aux maladies. Cette prestation inclut un conseil individualisé et des déplacements/observations de terrain pour le technicien.

• Catégorie 2 : les OAD ont une interface personnalisée. L'agriculteur utilise ces OAD grâce à une interface numérique (tablette/smartphone/ordinateur), l'outil modélise le risque à la parcelle grâce à des informations paramétrées en morte saison et enregistre les interventions de l'agriculteur (en saison) pour mettre à jour le risque potentiel et proposer les moments opportuns d'intervention tenant compte des traitements déjà réalisés. Ces outils peuvent aussi être consultés par le conseiller auquel l'agriculteur l'a acheté. L'agriculteur peut à tout moment contacter ce conseiller pour s'assurer de la pertinence d'un éventuel traitement. Pourrait entrer également dans cette catégorie le conseil à un groupement de plusieurs exploitations (accompagnement collectif).

• Catégorie 3 : certains OAD sont utilisables via une interface numérique et la licence est directement achetée par l'agriculteur qui utilise ensuite l'OAD seul. L'agriculteur dispose d'un espace personnel et enregistre ses interventions pour son usage propre et pour mettre à jour le modèle de prévision du risque. Aucun conseiller n'intervient dans ce cas, sauf éventuellement au moment de l'achat de la licence.

• Catégorie 4 : les OAD sont utilisés par une structure. Les alertes sont diffusées ensuite grâce à une liste automatique à l'ensemble de son réseau via des bulletins d'information sur le risque maladie. Ces bulletins ne nécessitent, ni n'impliquent aucun enregistrement ou implication particulière de la part de l'agriculteur.

En pratique pour le dispositif des CEPP, ces quatre catégories marquent un niveau décroissant de l'accompagnement de l'agriculteur et une diminution de la capacité à tracer l'activité de celui-ci. Elles traduisent aussi la façon dont l'agriculteur est susceptible d'exploiter l'économie proposée par l'OAD. En fonction des éléments de diffusion indiqués dans le dossier, la commission détermine la catégorie de rattachement.

À chacune de ces catégories est associé un pourcentage de la valeur maximale permise par le modèle :

- Catégorie 1 : 80 % de la valeur du modèle pour les OAD avec accompagnement ;

- Catégorie 2 : 30 % pour les OAD utilisés par les agriculteurs mais pour lesquels le recours au technicien est possible, quoique facultatif ;

- Catégorie 3 : 15 % pour les OAD utilisés en propre par l'agriculteur, il n'accède pas au conseil d'un technicien mais reporte régulièrement ses traitements ;

- Catégorie 4 : 0 % pour les alertes diffusées par bulletins via une liste de diffusion automatique. Ces modes de diffusion (bulletins et diffusion automatique) des OAD ne peuvent intégrer le dispositif des CEPP.

Pour les catégories qui permettront l'obtention in fine de CEPP, un contrat correspondant aux modalités d'accompagnement ayant permis d'attribuer la valeur des CEPP doit être établi entre la structure distributrice de l'OAD ou de la prestation et l'agriculteur, utilisateur final. Il est également rappelé que le déclarant doit disposer d'une facture de l'abonnement. Cette dernière doit comporter l'identité de l'exploitation abonnée, la date d'émission de la facture, la description de la prestation permettant l'identification sans équivoque de l'action et de la surface pour laquelle l'abonnement a été contracté. L'intitulé précis de la référence commerciale publiée par l'arrêté fiches action CEPP doit donc figurer sur ces factures et permettre de distinguer clairement les modalités d'accompagnement différentes. Des intitulés différents de ceux figurant dans l'arrêté n'ouvrent pas droit à délivrance de CEPP. Le tableau p. 26 présente les OAD actuellement intégrés au dispositif des CEPP.

D'autres outils disponibles

Des traitements conventionnels à l'agroécologie

Les outils soumis à l'heure actuelle s'intéressent au positionnement de produits phytopharmaceutiques conventionnels, principalement pour les céréales, deux cultures industrielles et la vigne. Ils sont partagés entre des outils utilisés en autonomie par l'agriculteur qui peut ou non avoir accès à une assistance technique en ligne et des outils comportant un accompagnement personnalisé (déplacement avec l'agriculteur pour mener des observations et des appuis sur site à la prise de décision).

C'est donc un petit champ des OAD qui intègre actuellement le dispositif CEPP. D'autres cultures et d'autres bioagresseurs font l'objet de développements d'outils d'aide à la décision et cette innovation a toute sa place dans le dispositif. Le développement de la méthode d'évaluation décrit dans cet article permet de clarifier les attentes des membres de la commission afin de permettre une rédaction facilitée pour les auteurs de fiches. Le fonctionnement de la commission permet des échanges avec les auteurs en fonction des questions qu'ils se posent ou qui ont été soulevées.

Dans un contexte où la réflexion systémique progresse en protection des plantes et comporte de plus en plus de leviers divers, il est possible que les OAD se diversifient pour permettre un meilleur positionnement de toutes les interventions, y compris de nouveaux leviers (agronomiques, etc.). Ils sont sans doute déjà en développement dans l'optique de positionner plus pertinemment des solutions de biocontrôle connues pour leur plus grande variabilité d'effet en fonction des conditions pédoclimatiques ou de stade de la plante et du bioagresseur. La méthode proposée par la commission CEPP pourra être utilisée dans ce cas. À la lumière d'essais transmis à la commission sur ces nouveaux modèles de prévision des risques et sur les règles d'interventions qui y seront associées, des valeurs d'effet de ces OAD seront publiées.

Quelle valeur pour la prestation de conseil ?

La méthode actuelle d'estimation des valeurs des OAD comporte des limites. En effet, lorsqu'elle est appliquée à des règles de décision d'intervention qui ne s'appuient pas sur un modèle de prévision des risques et plutôt sur l'observation experte, la quantification de la valeur intrinsèque du modèle devient variable d'un expérimentateur à un autre.

C'est la difficulté que rencontre la commission lorsqu'il lui est proposé un dossier à propos d'une prestation de conseil. En cohérence avec le modèle décrit pour les OAD, la commission CEPP souhaite cependant garder ce découplage entre l'optimum espéré d'économie via cette prestation et le type d'accompagnement qu'elle inclut. Les corpus de données nécessaires à la détermination de l'effet de tels accompagnements sont déterminants pour que la commission CEPP puisse parvenir à fixer une valeur robuste. Ces prestations d'accompagnement sont un élargissement de la méthode actuelle car elles poursuivent le même objectif d'aide à la prise de décisions dans le contexte agricole soumis aux aléas et à une demande croissante de sécurisation des interventions.

Dans le contexte où le conseil se sépare de la vente, des professionnels du conseil indépendant pourraient rechercher des indicateurs permettant d'argumenter l'intérêt pour l'agriculteur d'adhérer à telle ou telle prestation. Dans ce contexte, une description précise de la mécanique de modélisation de l'évolution du bioagresseur et l'économie qui en découle pourrait servir d'argument de diffusion auprès des utilisateurs potentiels. Cette description associée aux services rendus par les conseillers permettrait un choix éclairé aux agriculteurs en quête d'un service répondant sur mesure à leurs attentes. L'analyse des OAD existants montre clairement qu'un des services majeurs qu'ils rendent est de permettre aux agriculteurs d'estimer plus précisément la réalité de la pression des bioagresseurs. Ce sont les modèles épidémiologiques qui doivent assurer cette prévision précoce, avec peu, voire pas de possibilité de recalage à partir de données de terrain.

Dans le cadre du programme prioritaire de recherche « Cultiver et protéger autrement », un axe de projet a été proposé sur le renforcement de l'épidémiosurveillance, à l'aide d'une gamme nouvelle de capteurs et mobilisant les capacités de l'Intelligence artificielle. De tels projets sont susceptibles de conduire à une gamme totalement rénovée d'outils d'aide à la décision, puisqu'elle s'appuiera sur des données collectées au plus proche des conditions réelles de chaque agriculteur.

(1) https://alim.agriculture.gouv.fr/cepp/#/(2) https://ecophytopic.fr

RÉSUMÉ

CONTEXTE - Certains outils d'aide à la décision (OAD) permettent d'optimiser le positionnement des interventions phytosanitaires et ainsi de réduire l'utilisation de produit.

À ce titre, ils peuvent entrer dans le cadre du dispositif des certificats d'économie de produits phytopharmaceutiques (CEPP).

ÉVALUATION - La commission indépendante d'experts CEPP en charge de l'évaluation des actions candidates au dispositif a fixé deux points déterminants de la qualité d'un OAD : le modèle utilisé (modèle épidémiologique, règles d'intervention) et le type de distribution de ces outils. La commission CEPP étudie les outils proposés et détermine au cas par cas la valeur à leur associer en fonction des essais disponibles sur l'outil.

PERSPECTIVES - À ce jour, une partie seulement des OAD disponibles et des prestations ont été soumis à l'évaluation de la commission. De nouveaux outils pourraient être proposés, permettant par exemple le positionnement d'autres interventions que celles avec des produits phyto conventionnels, ou concernant des cultures ou des bioagresseurs non évoqués actuellement dans le dispositif des CEPP.

MOTS-CLÉS - Outils d'aide à la décision (OAD), certificat d'économie de produits phytopharmaceutiques (CEPP).

Exemples de fiches actions comportant des OAD

Sept fiches actions basées sur des outils d'aide à la décision sont d'ores et déjà publiées.

2017-013 : Accompagner le placement des traitements fongicides des céréales, au moyen d'OAD de prévision et de conseil tracé à la parcelle

2017-014 : Optimiser les traitements fongicides sur les maladies du feuillage du blé tendre au moyen d'un outil d'aide à la décision

2017-015 : Réduire les traitements fongicides contre le mildiou de la pomme de terre au moyen d'un outil d'aide à la décision

2017-016 : Accompagner l'exploitant agricole pour le déclenchement des traitements antimildiou sur vigne au moyen d'un OAD de prévision et de conseil tracé à la parcelle

2018-032 : Accompagner le placement des traitements fongicides contre le sclerotinia du haricot au moyen d'un outil d'aide à la décision de prévision et de conseil tracé à la parcelle

2019-051 : Réduire les traitements fongicides contre le mildiou de la pomme de terre, au moyen d'un outil d'aide à la décision de prévision et de conseil tracé à la parcelle et un accompagnement individuel

2019-055 : Optimiser les traitements fongicides sur les maladies de la vigne au moyen d'un outil d'aide à la décision

https://alim.agriculture.gouv.fr/cepp/#/

POUR EN SAVOIR PLUS

CONTACT : maud.blanck@inrae.fr

LIENS UTILES : voir notes.

Cet article fait partie du dossier Outils d'aide à la décision les alliés sur qui compter

Consultez les autres articles du dossier :

L'essentiel de l'offre

Voir aussi :