Avec la mi-mars, la taille s'achève. La météo plus clémente de février a permis de combler le retard qu'accusaient certaines régions. ' La terre commence à peine à porter ', commentait un professionnel près de Narbonne fin février. Il est vrai que le sud de la France n'a pas été épargné par les pluies. Dans l'Aude, décembre a même connu des inondations. Les opérations de nettoyage des parcelles s'achevaient juste fin février. Du coup, les travaux se bousculent. Dans les Pyrénées-Orientales, on essayait de combler le retard pris dans le défonçage et autres gros travaux. En Alsace, ce ne sont pas les pluies mais le froid qui a gêné les travaux. ' Après la période des grands froids, le sous-sol est resté gelé. Hormis dans les parcelles caillouteuses, le drainage était impossible et la boue empêchait de pénétrer dans les parcelles ', raconte-t-on. Cependant, les vignerons ne sont pas ici en retard dans leurs travaux. Les Champenois ont, eux, mis à profit la période de froid pour épandre des amendements, d'écorces principalement. Les sols, encore gelés, permettaient en effet de pénétrer sans problème dans les parcelles.Dans le pays nantais, les quinze jours de neige suivis d'une semaine de froid avaient engendré un léger retard des travaux mais rapidement comblé en février. En Saône-et-Loire, les travaux sont allés bon train sans être entravés. Idem en Val de Loire. Les vignerons du Bordelais avaient, eux, choisi volontairement de tailler plus tardivement les parcelles de cabernet sauvignon afin de combattre l'eutypiose.
Avec la mi-mars, la taille s'achève. La météo plus clémente de février a permis de combler le retard qu'accusaient certaines régions. ' La terre commence à peine à porter ', commentait un professionnel près de Narbonne fin février. Il est vrai que le sud de la France n'a pas été épargné par les pluies. Dans l'Aude, décembre a même connu des inondations. Les opérations de nettoyage des parcelles s'achevaient juste fin février. Du coup, les travaux se bousculent. Dans les Pyrénées-Orientales, on essayait de combler le retard pris dans le défonçage et autres gros travaux. En Alsace, ce ne sont pas les pluies mais le froid qui a gêné les travaux. ' Après la période des grands froids, le sous-sol est resté gelé. Hormis dans les parcelles caillouteuses, le drainage était impossible et la boue empêchait de pénétrer dans les parcelles ', raconte-t-on. Cependant, les vignerons ne sont pas ici en retard dans leurs travaux. Les Champenois ont, eux, mis à profit la période de froid pour épandre des amendements, d'écorces principalement. Les sols, encore gelés, permettaient en effet de pénétrer sans problème dans les parcelles.Dans le pays nantais, les quinze jours de neige suivis d'une semaine de froid avaient engendré un léger retard des travaux mais rapidement comblé en février. En Saône-et-Loire, les travaux sont allés bon train sans être entravés. Idem en Val de Loire. Les vignerons du Bordelais avaient, eux, choisi volontairement de tailler plus tardivement les parcelles de cabernet sauvignon afin de combattre l'eutypiose.