L'Inra (Institut national de la recherche agronomique) prépare une réforme de ses structures. L'idée est de coller davantage aux attentes des consommateurs, donc d'aller vers le produit final, sous la pression d'ailleurs des industriels de l'agroalimentaire. La crise de la vache folle et l'affaire des organismes génétiquement modifiés n'y sont pas non plus étrangers. Cinq ensembles de recherche vont se mettre en place : agriculture et environnement, produits végétaux, produits animaux, produits alimentaires et nutrition humaine, enfin société, économie et décisions. Espérons que cette réforme permettra d'accorder une meilleure place à la vigne et au vin, parents pauvres de la recherche de l'institut : quelque 160 chercheurs sur près de 7 800 s'y consacrent (voir La Vigne n° 68, p. 82).
L'Inra (Institut national de la recherche agronomique) prépare une réforme de ses structures. L'idée est de coller davantage aux attentes des consommateurs, donc d'aller vers le produit final, sous la pression d'ailleurs des industriels de l'agroalimentaire. La crise de la vache folle et l'affaire des organismes génétiquement modifiés n'y sont pas non plus étrangers. Cinq ensembles de recherche vont se mettre en place : agriculture et environnement, produits végétaux, produits animaux, produits alimentaires et nutrition humaine, enfin société, économie et décisions. Espérons que cette réforme permettra d'accorder une meilleure place à la vigne et au vin, parents pauvres de la recherche de l'institut : quelque 160 chercheurs sur près de 7 800 s'y consacrent (voir La Vigne n° 68, p. 82).