Les auteurs de l'étude n'ont pas pu comparer l'effet du vin à celui d'autres boissons alcoolisées. Ils n'ont eu affaire qu'à des abstinents ou à des amateurs de vin. Les premiers représentent 44 % des personnes suivies. L'étude révèle qu'ils vivent plus souvent seuls, sont plus dépressifs et consomment plus de tranquillisants et autres anxiolytiques que les buveurs. Souffrent-ils d'une privation? La question reste posée. Les petits buveurs, qui consomment entre deux verres par semaine et deux verres par jour, représentent 41 % des personnes suivies. Les buveurs modérés (trois à quatre verres par jour) ne sont que 12 %. Les buveurs excessifs sont les moins nombreux avec 3 % de l'échantillon.
Les auteurs de l'étude n'ont pas pu comparer l'effet du vin à celui d'autres boissons alcoolisées. Ils n'ont eu affaire qu'à des abstinents ou à des amateurs de vin. Les premiers représentent 44 % des personnes suivies. L'étude révèle qu'ils vivent plus souvent seuls, sont plus dépressifs et consomment plus de tranquillisants et autres anxiolytiques que les buveurs. Souffrent-ils d'une privation? La question reste posée. Les petits buveurs, qui consomment entre deux verres par semaine et deux verres par jour, représentent 41 % des personnes suivies. Les buveurs modérés (trois à quatre verres par jour) ne sont que 12 %. Les buveurs excessifs sont les moins nombreux avec 3 % de l'échantillon.