ImprimerOn admettait que les bulles des effervescents se forment dans les rayures invisibles des flûtes. Selon l'équipe de recherches de Moët et Chandon, il n'en est rien. Les bulles naîtraient au contact des poussières sèches couvrant les verres. Pour établir ce fait, elle a travaillé en salle blanche dont l'air est débarrassé de toutes particules par des filtrations. Dans ces pièces, les verres parfaitement propres le restent et aucune bulle ne s'échappe du champagne. Elles courent à nouveau vers la surface lorsqu'on sème des microcristaux bien secs sur les parois des coupes. Cette nouvelle théorie explique pourquoi des chapelets de bulles naviguent en plein milieu d'un verre : ils naissent d'une poussière qui flotte entre deux eaux.
On admettait que les bulles des effervescents se forment dans les rayures invisibles des flûtes. Selon l'équipe de recherches de Moët et Chandon, il n'en est rien. Les bulles naîtraient au contact des poussières sèches couvrant les verres. Pour établir ce fait, elle a travaillé en salle blanche dont l'air est débarrassé de toutes particules par des filtrations. Dans ces pièces, les verres parfaitement propres le restent et aucune bulle ne s'échappe du champagne. Elles courent à nouveau vers la surface lorsqu'on sème des microcristaux bien secs sur les parois des coupes. Cette nouvelle théorie explique pourquoi des chapelets de bulles naviguent en plein milieu d'un verre : ils naissent d'une poussière qui flotte entre deux eaux.