Comparée à d'autres cultures, la vigne se contente de peu. Elle ne prélève que 20 à 70 unités d'azote par an. Compte tenu des apports par le sol, on peut souvent se passer de toute fertilisation azotée et il est rarement nécessaire d'en épandre plus de 30 unités. Seules les parcelles où l'on installe un gazon peuvent avoir d'importants besoins. La vigne consomme 10 à 20 unités de P 2O5. La quasi-totalité des sols les lui fournit. Son appétit pour la potasse est plus prononcé : 30 à 80 unités/an. Les sarments en restituent une bonne part si bien que dans les sols non carencés, il suffit d'apporter 60 unités de K 2O/an. Les schistes et les arènes granitiques sont riches en potasse. Sur ces terroirs, il est souvent inutile d'en épandre. Ces chiffres ne sont qu'indicatifs. Pour faire un plan de fumure, il faut analyser son sol.
Comparée à d'autres cultures, la vigne se contente de peu. Elle ne prélève que 20 à 70 unités d'azote par an. Compte tenu des apports par le sol, on peut souvent se passer de toute fertilisation azotée et il est rarement nécessaire d'en épandre plus de 30 unités. Seules les parcelles où l'on installe un gazon peuvent avoir d'importants besoins. La vigne consomme 10 à 20 unités de P 2O5. La quasi-totalité des sols les lui fournit. Son appétit pour la potasse est plus prononcé : 30 à 80 unités/an. Les sarments en restituent une bonne part si bien que dans les sols non carencés, il suffit d'apporter 60 unités de K 2O/an. Les schistes et les arènes granitiques sont riches en potasse. Sur ces terroirs, il est souvent inutile d'en épandre. Ces chiffres ne sont qu'indicatifs. Pour faire un plan de fumure, il faut analyser son sol.