Pour pratiquer une protection raisonnée du vignoble, une formation s'avère nécessaire. Elle est proposée dans un grand nombre de régions viticoles.
Pour pratiquer une protection raisonnée du vignoble, une formation s'avère nécessaire. Elle est proposée dans un grand nombre de régions viticoles.
Plusieurs chambres d'agriculture, syndicats ou instituts ont mis en place des stages de formation ' protection raisonnée '. Souvent, ils constituent les premiers pas vers la création d'un groupe lutte raisonnée. C'est ainsi qu'en Charente-Maritime, beaucoup des vignerons participant aux treize groupes existants étaient déjà formés en 1990. Mais l'enseignement se poursuit ensuite au sein des groupes, à l'occasion de chaque rencontre.Certaines chambres d'agriculture ayant déjà organisé des stages, n'en prévoient pas dans l'immédiat : c'est le cas dans le Loir-et-Cher, le Gard ou les Bouches-du-Rhône. Le syndicat des vins de Cahors est dans la même situation. Il a cependant fourni à tous les producteurs un classeur sur la lutte raisonnée. D'autres structures prévoient d'en mettre en place dans l'avenir : le réseau lutte raisonnée ardéchois devrait être relancé dans le cadre du Pida vin. Les vignerons de Buzet pourraient également se voir proposer une formation l'année prochaine.Les stages peuvent aussi être bâtis sur mesure. Dans les Pyrénées-Orientales, un groupe existant depuis plusieurs années a demandé à la chambre d'agriculture une formation complémentaire sur des points que les vignerons maîtrisaient moins bien.Ainsi, dans pratiquement tous les vignobles, le vigneron a-t-il pu, peut ou pourra se familiariser avec les principes d'une protection respectueuse de l'environnement.
Plusieurs chambres d'agriculture, syndicats ou instituts ont mis en place des stages de formation ' protection raisonnée '. Souvent, ils constituent les premiers pas vers la création d'un groupe lutte raisonnée. C'est ainsi qu'en Charente-Maritime, beaucoup des vignerons participant aux treize groupes existants étaient déjà formés en 1990. Mais l'enseignement se poursuit ensuite au sein des groupes, à l'occasion de chaque rencontre.Certaines chambres d'agriculture ayant déjà organisé des stages, n'en prévoient pas dans l'immédiat : c'est le cas dans le Loir-et-Cher, le Gard ou les Bouches-du-Rhône. Le syndicat des vins de Cahors est dans la même situation. Il a cependant fourni à tous les producteurs un classeur sur la lutte raisonnée. D'autres structures prévoient d'en mettre en place dans l'avenir : le réseau lutte raisonnée ardéchois devrait être relancé dans le cadre du Pida vin. Les vignerons de Buzet pourraient également se voir proposer une formation l'année prochaine.Les stages peuvent aussi être bâtis sur mesure. Dans les Pyrénées-Orientales, un groupe existant depuis plusieurs années a demandé à la chambre d'agriculture une formation complémentaire sur des points que les vignerons maîtrisaient moins bien.Ainsi, dans pratiquement tous les vignobles, le vigneron a-t-il pu, peut ou pourra se familiariser avec les principes d'une protection respectueuse de l'environnement.