La taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) n'aura aucune incidence sur les antioïdiums. En revanche, elle pénalisera très fortement certains produits au premier rang desquels figure l'Esaco. Viennent ensuite certains nématicides, les produits de traitement d'hiver, les fongicides dont la matière active est le mancozèbe, et les herbicides au diuron. Fin décembre, le sort de la bouillie bordelaise et des autres fongicides contenant du cuivre issu du sulfate n'était pas encore connu avec certitude. Dans l'hypothèse la plus défavorable, ils devaient être taxés entre 20 et 30%.