Aujourd'hui autorisée, l'uréase, en détruisant l'urée présente dans le vin, limite l'apparition de carbamate d'éthyle. Mais la firme japonaise qui la fabriquait ne semble plus s'y intéresser. Les vendeurs de produits oenologiques non plus : ' On n'a pas de demande ' ; ' Le traitement revient bien trop cher ' ; ' On n'est pas prêt sur ce produit cette année ', déclarent-ils. Il risque donc d'être difficile de s'en procurer.