L'année 2000 aura été celle de l'instauration du suivi en aval de la qualité (SAQ). Son but est de vérifier les vins au stade ultime de leur commercialisation. Sous la pression des fraudes, les organisations de la production et du négoce des AOC ont imaginé une procédure en quatre étapes : prélèvement, dégustation, information et, éventuellement, saisine des fraudes. Les comités interprofessionnels ont quasiment tous signé les accords organisant un SAQ représentatif de leur circuit de commercialisation.