En 1998, des Hollandais et des Finlandais s'inquiétaient de la présence d'ochratoxine A (OTA) dans des vins français. Depuis, l'Onivins finance une enquête sur la contamination par cette toxine fongique. Au vignoble, les raisins s'enrichissent en OTA pendant la maturation. La macération augmente le transfert du poison vers le vin. On cherche à savoir si les antibotrytis agissent contre les champignons producteurs d'OTA.