Est-il normal que ce débat (sur les phytos) ne puisse pas avoir lieu dans nos appellations ? Pourquoi ceux qui posent des questions sur la façon dont notre métier est exercé et perçu se font systématiquement marginaliser ? Puisque tout est verrouillé en interne, le débat a lieu à l'extérieur et d'une façon pas toujours la plus souhaitable. Mais à qui la faute ? Arrêtons là les frais. Il faut que tout Bordeaux opère et valorise une sortie programmée des CMR sur deux ou trois ans pour sauver sa réputation déjà bien abîmée.
Dominique, réaction à l'article Vitisphere « Cash Investigation repart en croisade contre les phytos CMR »