À côté des « retirées volontaires », il existe des substances non inscrites après examen et pour lesquelles une réinscription est demandée. Certaines l'obtiennent, comme la buprofézine.
Cet insecticide avait été « non inscrit » en 2008 faute d'informations permettant d'établir « une définition adéquate du résidu » donc de « procéder à une évaluation fiable de l'exposition des consommateurs ». Mais le demandeur a redéposé une demande et fourni de nouvelles informations. L'évaluation a pu être faite et a indiqué un risque acceptable.
Ce qu'explique la directive 2011/6/ UE du 20 janvier 2011, publiée le 21 et inscrivant la buprofézine à l'annexe 1 à compter du 1er février.