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Vigne, année à fongicides dont trois « alternatifs »

MARIANNE DECOIN* - Phytoma - n°658 - novembre 2012 - page 22

Toutes les nouveautés à signaler dans le domaine de la protection de la vigne sont des fongicides, les plus notables étant de type « alternatif ».
Un pulvérisateur, ça sert aussi à appliquer des produits à base de substances « alternatives » comme l'huile essentielle d'orange, le bicarbonate de potassium (deux substances utilisées aussi… dans l'alimentation humaine !) et des souches précises d'A. pullulans. ph. CA du Gard

Un pulvérisateur, ça sert aussi à appliquer des produits à base de substances « alternatives » comme l'huile essentielle d'orange, le bicarbonate de potassium (deux substances utilisées aussi… dans l'alimentation humaine !) et des souches précises d'A. pullulans. ph. CA du Gard

Depuis notre précédent point sur les innovations en matière de produits de protection de la vigne en décembre dernier(1), trois nouvelles substances actives sont arrivées sur ce marché. Fait significatif, toutes trois font partie des produits « alternatifs ». Par ailleurs ce sont des fongicides comme, du reste, les autres nouveautés lancées sur la période. À noter que toutes, alternatives comme conventionnelles, ont des atouts au plan toxicologie-écotoxicologie.

Les trois alternatives

Trois types représentés

Commençons par l'arrivée de substances actives inédites sur le marché de la protection de la vigne. Elles représentent trois catégories de substances alternatives utilisables en protection des plantes : une substance inerte d'origine biologique, une autre substance inerte mais de type minéral, et enfin un micro-organisme vivant. Plus précisément, ce sont :

– Une huile essentielle, celle d'orange douce en l'occurrence ;

– Un sel, précisément du bicarbonate de potassium ;

– Un mélange calibré de deux souches d'une levure répondant au nom d'Aureobasidium pullulans.

Huile essentielle d'orange, en odeur de santé

Action « déshydratante »

L'huile essentielle est contenue dans Prev-Am (et son jumeau Limocide) de la société Vivagro. Ce produit, présenté dans Phytoma en janvier 2011(2), avait été autorisé sur tomate et courgette sous serre fin 2009, en tant qu'insecticide anti-aleurodes(3). En mars 2012, il a obtenu des extensions d'emploi sur d'autres cultures comme insecticide et/ou fongicide. La liste de ces nouveaux usages, publiée dans Phytoma en juin dernier( 4), comporte en particulier le mildiou et l'oïdium de la vigne.

Un insecticide qui est en même temps fongicide… Étonnant, non ? Tout s'explique si on connaît son mode d'action.

C'est une action physique. L'huile essentielle déshydrate la cuticule des insectes pourvu qu'elle soit assez fine et les individus suffisamment petits (cas des aleurodes, thrips et cicadelles), mais aussi les parois de champignons lors de la germination de spores et/ ou du développement mycélien tant qu'ils restent à la surface des feuilles.

Avantage de ce mode d'action original : il est « robuste » face aux résistances. Du reste le produit est autorisé six fois par an sur vigne alors que les fongicides conventionnels le sont le plus souvent deux ou trois fois seulement.

Contre l'oïdium et le mildiou

Contre l'oïdium de la vigne, parasite qui reste à la surface des feuilles, Vivagro conseille le produit seul jusqu'au stade boutons floraux séparés, puis associé à une demi-dose de fongicide conventionnel, ou bien à du soufre lui aussi à demi-dose si l'on veut rester dans la gamme UAB des produits utilisables en agriculture biologique.

Contre le mildiou, et bien que le produit soit autorisé seul, la société le conseille associé à un partenaire (cuivre ou anti-mildiou conventionnel), lui aussi à dose réduite.

Pour les détails – prise en compte de la sensibilité variétale de la vigne, préconisations pour les traitements très précoces sur cépage Carignan, conseils pour les traitements mixtes visant à la fois mildiou et oïdium, etc. – il faut voir son distributeur.

Côté tox, écotox

Le produit est irritant pour les yeux (phrase de risque R36), rançon de son action déshydratante, et par inhalation (R20) vu la volatilité de l'huile essentielle. Il est pour l'instant classé sensibilisant (R43) par précaution, en l'attente de tests adaptés à ce type de produit. Ces derniers seraient programmés, et le fabricant espère que leurs résultats permettront de prouver l'absence de risque de sensibilisation. Dont acte. En attendant, le fongicide est catalogué « nocif » (Xn) au plan « tox » (toxicologique).

En revanche il n'y a pas de LMR (limite maximale de résidus) de la substance active. En effet, cette huile essentielle obtenue par pression à froid de l'écorce d'orange n'est ni toxique ni nocive par ingestion. Du reste, on l'utilise dans l'alimentation humaine ! Et en cosmétique et produits d'hygiène vu son agréable « odeur de santé » d'orange fraîche. De même le produit est dispensé de DAR, délai avant récolte, grâce à son caractère « alimentaire » mais aussi sa très faible rémanence.

Il est classé au plan « écotox » (écotoxicité), soit N R 51/53, pour effet sur les organismes aquatiques. Certes, vu sa très faible rémanence, les seuls risques environnementaux sont ceux de versement d'un bidon dans un cours d'eau et de dérive lors du traitement… risques eux-mêmes faibles dans le cadre des « bonnes pratiques agricoles » voire même du simple respect des lois : ne pas traiter à moins de 5 mètres des cours et plan d'eau ni par vent de force 3 et plus… Mais, du fait de ce classement « N », le produit n'est pas actuellement inscrit sur la liste « Nodu vert biocontrôle » présentée dans Phytoma en octobre dernier(5) alors qu'il est UAB (utilisable en agriculture biologique) du fait de son origine naturelle.

Bicarbonate de potassium, le sel bon pour le vin

Action sur le pH et la pression osmotique

La seconde nouvelle substance est le bicarbonate de potassium. Il a été autorisé fin 2011 dans Armicarb, de De Sangosse(6). Le produit a été présenté dans Phytoma en mars dernier(7) comme anti-oïdium de la fraise et des petits fruits, cultures pour lesquelles il répond à un besoin pressant car « leurs » oïdiums ont une fâcheuse tendance à résister à divers fongicides chimiques.

La société l'avait déjà testé sur vigne mais voulait continuer une année supplémentaire. C'est fait, elle lance le produit sur vigne.

La substance agit par contact. Elle inhibe le développement des spores et des hyphes mycéliens par perturbation du pH et de la pression osmotique. Ce mode d'action est multisites et, là aussi, de type « physique ». Un mécanisme original qui différencie ce bicarbonate des autres fongicides du marché. C'est utile pour prévenir les résistances. De fait, ce fongicide est autorisé jusqu'à 8 fois par an !

Ce produit, inhibant la germination des spores et bloquant le développement des hyphes mycéliens, est de ce fait plutôt un fongicide préventif à effet stoppant. Il est autorisé sur vigne contre l'oïdium et le botrytis.

Contre l'oïdium et le botrytis

Contre l'oïdium, De Sangosse conseillera le produit du stade 3/4 feuilles jusqu'à la floraison, soit à 3 kg/ha mélangé à 2 kg/ha d'un « soufre mouillable » WP ou WG à 80 % de soufre. Une dose réduite de soufre, donc. Ces doses sont adaptables au volume de végétation si l'on soigne la qualité de pulvérisation (ex. face par face).

Cette stratégie est valable pour l'agriculture biologique (le produit est UAB) et en viticulture conventionnelle qui utilise le soufre (on n'a pas encore de résultats sur les mélanges avec d'autres fongicides) si les conditions climatiques le permettent.

Contre le botrytis, le produit est préconisé sur la base d'une application, du début véraison jusqu'à 10/15 jours avant la vendange. Légalement, le DAR (délai avant récolte) n'est que d'un jour, car la substance est dispensée de LMR. En effet le bicarbonate de potassium est utilisé dans l'alimentation humaine (pour les curieux, c'est l'additif E501) et… en œnologie ! Ce sel est bon pour le vin.

Côté tox ecotox

Quant au profil toxicologique et écotoxicologique, la substance et le produit formulé ont tout bon : ils sont exemptés de tout classement toxicologique (ni toxiques ni nocifs ni même irritants par ingestion, inhalation ou contact cutané) et même écotoxicologique. Résultat : non seulement le produit est UAB, mais encore il est listé dans le « Nodu vert biocontrôle ».

Aureobasidium pullulans, des souches bénéfiques

Action par antagonisme

La troisième nouveauté se nomme Botector et vient tout juste d'être autorisée en 2012(8). Elle aussi UAB, elle sera elle aussi vendue par De Sangosse. Visant le botrytis alias pourriture grise, et produite par la société autrichienne Bio Ferm, elle est à base d'Aureobasidium pullulans… Il s'agit d'un mélange à parts égales de ses souches DSM 14 940 et DSM 14 941.

Attention, cette identification précise des souches a une grande importance !

En effet, certaines souches d'Aureobasidium pullulans sont des moisissures pathogènes pour l'homme. Ce n'est pas le cas des DSM 14 490 et 14 491, souches naturelles sélectionnées pour leur innocuité vis-à-vis de l'homme et du règne animal en général, mais aussi des végétaux : en langage scientifique, on dit qu'elles ne sont ni pathogènes ni phytopathogènes.

Ces souches sont des levures fongicides présentant aussi une efficacité contre certaines bactéries (elles sont d'ailleurs autorisées dans un autre produit contre le feu bactérien en vergers). Elles fonctionnent par un mécanisme « d'antagonisme ». Elles empêchent le botrytis de se développer par compétition spatiale et alimentaire.

Contre le botrytis

Le produit peut être appliqué depuis le moment de la chute des capuchons floraux jusqu'au plus près des vendanges, en dirigé vers la zone des grappes.

Un minimum d'hygrométrie est nécessaire au développement des levures qui éviteront le développement du botrytis… Dans le cas contraire c'est-à-dire par temps sec, on n'a de toute façon pas besoin d'anti-botrytis.

Par ailleurs, les souches sélectionnées ont des qualités de tolérance à des pluies de faible intensité pouvant survenir quelques jours après le traitement. Comme le produit est à base de levure vivante, on ne peut pas le mélanger avec un fongicide classique. Il est conseillé seul. Il faut attendre trois jours minimum après un autre traitement phyto pour pouvoir l'appliquer.

Il peut être utilisé jusqu'à trois fois par saison et présente lui aussi un DAR d'un jour seulement. Par ailleurs, selon De Sangosse, le produit ne laisse pas de résidus et ne perturbe pas les fermentations nécessaires au processus de vinification.

Côté tox écotox

Lui aussi est dispensé des classements toxicologique et écotoxicologique. Il figure dans la liste « Nodu vert biocontrôle » en plus d'être UAB. Un atout ces temps-ci.

Les trois nouveautés conventionnelles

Mélanges inédits

Les trois autres produits déclinent des substances actives conventionnelles et déjà utilisées en vigne. Alors quoi de neuf ? Deux d'entre eux sont des anti-mildiou mélangeant de façon inédite des substances déjà connues.

Passons rapidement sur Valis M, d'Isagro et son quasi-jumeau Emendo V, de Crompton Uniroyal Chemical car ils ne sont pas encore distribués. Ils associent le classique et multi-sites mancozèbe au récent valifénalate. Cette dernière substance, de la famille des carboxylic acide amine, est vendue par Phyteurop associée au folpel (encore un multi-sites classique) dans Valis F.

Pour sa part, le Carial C Pépite, de Syngenta Agro, autorisé tout début 2012(9), va être commercialisé. Il associe le cuivre de l'oxychlorure et le mandipropamide. C'est encore un exemple de tandem multi-sites classique/ substance récente, une recette qui semble avoir de beaux jours devant elle.

La substance récente, elle aussi un carboxylic acide amine, avait été présentée dans Phytoma en avril 2010(10), lors de son lancement sur vigne mélangée à du mancozèbe et du folpel, respectivement dans Pergado MZ Pépite et Pergado F Pépite.

Le nouveau produit peut s'utiliser deux fois par an et jusqu'à 21 jours avant la récolte. À noter qu'il est classé au plan écotoxicologique, cuivre oblige, mais a en revanche un bon profil toxicologique : il n'est pas classé sur ce plan-là.

La solitude du fosétyl

Quant au dernier produit, l'Alleato 80 WG, de Sumi Agro, il vient tout juste d'être autorisé (voir les tableaux des AMM en p. 8 à 10 de ce numéro de Phytoma). Il contient… du fosétyl-Al, substance utilisée sur la vigne depuis des lustres. Alors pourquoi le citer comme une nouveauté ?

Parce que le fosétyl-Al est autorisé sur vigne depuis des lustres, oui, certes… Mais jusqu'ici jamais tout seul.

Il était déjà disponible en formulation solo, mais uniquement en vergers, dans les Aliette autorisés contre le feu bactérien des pommiers et poiriers et la gommose parasitaire sur agrumes. Il était présent en vigne dans des dizaines de produits, mais jusqu'ici toujours associé à d'autres substances anti- mildiou… Son arrivée en solo est donc un fait notable.

Ce fongicide multisites est un phosphonate, précisément éthyl-phosphonate. Il associe une activité fongicide au sens strict avec un effet SDN (stimulation des défenses naturelles des plantes). Il n'est concerné par aucune résistance à ce jour et, du reste, est utilisable jusqu'à six fois par an.

Il est autorisé contre le mildiou et l'excoriose. Contre cette maladie, il s'utilisera seul en tout début de saison. En revanche, contre le mildiou, le produit est conseillé avec un « partenaire de contact ». Ce pourra être du mancozèbe, du folpel ou du métirame-zinc, à l'image de formulations existant déjà. Ou encore du cuivre, et ça c'est nouveau. Mais pas n'importe quel cuivre !

Il était déconseillé jusqu'ici de mélanger le fosétyl-Al et le cuivre. C'est désormais possible, mais seulement avec deux formulations récentes d'hydroxyde de cuivre. Nommées Blue Shield Hi Bio WG et Scoubi Hi Bio WG, elles sont toutes deux distribuées par Sumi Agro. La société recommande de les mélanger à son nouveau produit, avec lequel elles ont été testées. En revanche elle ne garantit rien, déconseille et retire toute responsabilité en cas de tout autre mélange de son produit au fosétyl-Al avec toute autre formulation à base de cuivre. Même de cuivre de l'hydroxyde. Même récente. Qu'on se le dise !

À noter : ce nouveau produit est exempté des classements toxicologique et écotoxicologique. On voit que les produits conventionnels aussi évoluent vers plus de douceur et de sécurité. Qui s'en plaindra ?

<p>(1), (2), (3) et (4) : Voir le « Pour en savoir plus » en p. 25. ((5), 6), (7), (8), (9) et (10) : Voir le « Pour en savoir plus ».</p>

Question de vocabulaire

Alternatif, naturel, UAB, biocontrôle… Ces termes désignent des produits phytos situés dans le même univers mais ils ne sont pas équivalents.

Alternatif = alternatif aux (= différents des) pesticides phytos conventionnels. Le mot « pesticide » désigne ici les produits à action pesticide (= qui tuent les bio-agresseurs des végétaux à protéger), le mot « conventionnel » désigne les produits issus de la chimie de synthèse.

Les produits alternatifs sont d'origine naturelle et/ou sans action pesticide. Ce dernier cas regroupe les attractifs (phéromones, etc.) même de synthèse et les SDN (stimulateurs de défenses naturelles) sans action pesticide par ailleurs.

Naturel : produit d'origine naturelle ; cette origine peut être biologique (substance extraite de végétaux, animaux ou micro-organismes, ou bien préparation de ces micro-organismes vivants) ou minérale (ex. soufre, sels de cuivre, de potassium, kaolin, etc.)

On assimile aux substances naturelles leurs copies obtenues par procédé industriel si ces copies sont conformes (ex. acide acétique, divers sels).

UAB : utilisable en agriculture biologique, sous-entendu « selon le règlement européen 889/2008 » ; c'est une notion réglementaire. Sauf dérogation, il s'agit des produits phytos « alternatifs » tels que déjà définis. Donc des produits d'origine naturelle (ou leur copie conforme) et/ou sans effet pesticide.

Biocontrôle : Oui ! D'accord !! C'est un anglicisme… Mais, l'administration française l'utilisant pour la liste « Nodu vert biocontrôle » évoquée dans ces pages, il faut expliciter le terme. Il désigne des produits phytos alternatifs (a priori UAB) mais pas tous ces produits. Sont exclus ceux qui contiennent des substances actives toxiques (il n'y en a plus depuis le retrait de la roténone) ou dangereuses pour l'environnement (d'où l'exclusion du cuivre). La liste « Nodu vert biocontrôle » ne contient que des produits de biocontrôle mais pas tous ces produits ; ainsi, il n'y a pas d'huile essentielle pour l'instant, ni de macro-organismes auxiliaires de lutte biologique. Ces derniers ne sont pas des produits phytos réglementés comme tels (seule l'importation des espèces non indigènes est réglementée par ailleurs).

Rappels : phyto = phytopharmaceutique (pour un produit, qui doit avoir une AMM [autorisation de mise sur le marché] en France, ou une substance, qui doit être approuvée selon le règlement 540/2011 appliquant le règlement 1107/2009) ;

NODU = nombre de doses unités (un des indices d'Ecophyto 2018).

Nouveautés pour la vigne autorisées depuis un an

RÉSUMÉ

CONTEXTE : Les nouveautés apparues sur le marché de la protection phytosanitaire de la vigne, toutes des fongicides, illustrent la tendance au développement des produits alternatifs.

CATALOGUE : Trois des six nouveautés autorisées, représentant la totalité des nouvelles substances actives apparues, sont en effet UAB. Ce sont :

– l'huile essentielle d'orange douce, contre le mildiou et l'oïdium ;

– le bicarbonate de potassium, contre l'oïdium et le botrytis ;

– l'association, à parts égales, des souches DSM 14 490 et DSM 14 491 d'Aureobasidium pullulans contre le botrytis.

Les trois autres nouveautés déclinent des substances actives connues :

– deux associations inédites d'une substance multisites classique avec une substance récente : mancozèbe/valifénalate (non commercialisée pour l'instant), et cuivre de l'oxychlorure/mandipropamide ;

– l'arrivée du fosétyl-Al solo.

Les modes d'action, spectres, conseils d'application et profils toxicologiques et écotoxicologiques des produits lancés sont évoqués.

MOTS-CLÉS : vigne, produits phytos (= phytopharmaceutiques), UAB (utilisable en agriculture biologique), biocontrôle, fongicides, huile essentielle d'orange douce, bicarbonate de potassium, Aureobasidium pullulans souches DSM 14 490 et DSM 14 491, cuivre de l'oxychlorure, mandipropamide, fosétyl-Al, mildiou, oïdium, botrytis, excoriose.

POUR EN SAVOIR PLUS

*AUTEUR : M. DECOIN, Rédactrice en chef de Phytoma.

CONTACT : m.decoin@gfa.fr

TEXTES PARUS DANS PHYTOMA :

(1) M . Decoin, 2011 - Quatre inédites et des tendances. Phytoma n° 649, décembre 2011, p. 34 à 38.

(2) F. Lemarchand, 2011 - Mieux connaître Prev-Am, insecticide naturel anti-aleurodes. Phytoma n° 640, janvier 2011, p. 42-43.

(3) Première autorisation de Prev-Am. Phytoma n° 630 de janvier 2010, p. 44.

(4) E xtension d'emploi de Prev-AM. Phytoma n°655, de juin-juillet 2011, p. 10.

(5) Nodu Vert BIocontrôle. Phytoma n° 657, octobre 2012, p. 4-5.

(6) Première autorisation d'Armicarb. Phytoma n° 651, février 2012, p. 40.

(7) M . Daguier, G. Drouin, V. Arnal, S. Vigano et C. Zugaj, 2012 - Mieux connaître Armicarb, fongicide anti-oïdium des petits fruits utilisable jusqu'à la veille de la récolte. Phytoma n° 652, mars 2012, p. 50-51.

(8) Première autorisation de Botector. Phytoma n° 656, septembre 2012, p. 9.

(9) Première autorisation de Carial C Pépite. Phytoma n° 651, février 2012, p. 40.

(10) B astard (de) L. & al., 2010 - Qu'est-ce que le mandipropamide ? Phytoma n° 633, avril 2010, p. 47-49. Voir aussi l'article titré « Produits phytopharmaceutiques vigne, moins nombreux mais de qualité » dans Phytoma n° 638, novembre 2010, p. 22 à 26.

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