DOSSIER - Jardins, espaces végétalisés et infrastructures

Gestion des plantes indésirables par la couverture végétale du sol

SOPHIE QUENNESSON* ET SANDRINE OSTE*, D'APRÈS LEUR COMMUNICATION À LA 6E COMAPPI DE L'AFPP ET DE LA FREDON NORD PAS-DE-CALAIS, À LILLE, DU 21 AU 23 MARS 2017. *Fredon Nord Pas-de-Calais. - Phytoma - n°705 - juin 2017 - page 28

Qu'ils soient spontanés ou implantés, les couverts végétaux sont utiles dans de nombreux cas, à condition de les gérer correctement.
Ce talus est végétalisé avec des espèces couvre-sol : une végétalisation qui facilite l'entretien « zéro phyto » en ville. Photo : Fredon Nord Pas-de-Calais

Ce talus est végétalisé avec des espèces couvre-sol : une végétalisation qui facilite l'entretien « zéro phyto » en ville. Photo : Fredon Nord Pas-de-Calais

En espaces verts, l'acceptabilité de la végétation spontanée est liée à deux types de réalité. D'abord, il existe des contraintes techniques telles que la concurrence des adventices vis-à-vis de végétaux implantés.

Ensuite, les gestionnaires de ces espaces doivent tenir compte de considérations liées à l'esthétique, la propreté, la santé (ex. : plantes allergènes) et la sécurité (ex. : visibilité de signalisation, risques d'incendies).

La technique se développe

Enquête dans seize villes

Les végétaux indésirables peuvent être maîtrisés par des outils alternatifs aux désherbants. La couverture végétale du sol est aujourd'hui de plus en plus souvent mise en oeuvre dans ce but.

Elle est principalement assurée par les gazons, massifs, prairies urbaines et autres zones enherbées, sur divers types d'espaces : parcs, ronds-points, terre-pleins centraux, cimetières, talus, bords de voies de circulation, etc. Les allées gravillonnées et autres surfaces stabilisées peuvent aussi être enherbées ou engazonnées. En milieu urbain, les plantes semées ou plantées, mais aussi la végétation spontanée, ont leur place.

Pour appuyer le développement des méthodes alternatives en espaces verts, la Fredon Nord Pas-de-Calais étudie l'intérêt des plantes couvre-sol dans le cadre d'un programme financé par la région Hauts-de-France. Nous allons ici citer l'expérience de seize villes du Nord et du Pas-de-Calais, étayée par des données bibliographiques.

Que faire de la flore spontanée ?

Pourquoi certaines espèces ne sont « pas acceptables »

En espaces verts, certaines espèces végétales sont estimées indésirables car :

- elles suggèrent un mauvais entretien (liserons des haies et des champs dans les massifs, ortie dioïque dans les prairies, renoncule rampante dans les gazons, séneçon commun sur les allées) ;

- elles se disséminent aisément par leurs graines, bulbilles ou racines (pissenlit, chardon des champs, oxalis) ;

- elles poussent à travers les paillis et les surfaces stabilisées de schistes ou de graviers (prêle) ;

- une fois installées, elles sont difficiles à maîtriser (rumex, chiendent rampant) ;

- elles sont des EEE, espèces exotiques envahissantes (renouées asiatiques, séneçon du Cap, ambroisie à feuilles d'armoise, ailante glanduleux) ;

- elles sont urticantes ou allergisantes (berce du Caucase, grande chélidoine, panais urticant, et encore ambroisie à feuilles d'armoise, ortie dioïque, ortie brûlante).

Par ailleurs, l'acceptabilité des plantes spontanées dépend du site. Un cimetière, un terrain de sport, l'esplanade de la mairie, du monument aux morts ou de la cathédrale sont des sites sensibles vu leur fréquentation, leur fonction ou leur symbolique. Il est souvent difficile d'y faire accepter la présence d'une végétation spontanée

Évolution de la végétalisation en jevi

Cependant, des collectivités oeuvrent pour améliorer l'acceptation par les habitants de la végétation spontanée et de l'herbe haute. Plusieurs villes tolèrent les dicotylédones (pissenlits, pâquerettes) dans les gazons. Les espaces champêtres extensifs sont de plus en plus présents, même dans des cimetières. Le retour d'espèces moins communes, comme certaines orchidées, valorise ces évolutions.

Le changement, motivé par des décisions politiques locales, est renforcé par le contexte réglementaire : depuis le 1er janvier 2017, la loi Labbé interdit aux collectivités l'usage de désherbants, sauf sur les cimetières, terrains de sport et voiries difficiles d'accès.

Le développement de la gestion différenciée a révélé que l'entretien de certains espaces est très chronophage et peu ergonomique, voire dangereux pour les agents, et que certains modes de gestion sont un frein pour la biodiversité. Pour améliorer ces facteurs tout en introduisant en ville des ambiances champêtres ou naturelles, des espaces sont reconvertis : gazons devenus prairies de fauche ou remplacés par des plantes couvre-sol, massifs saisonniers passant aux vivaces, engazonnement d'allées.

Du côté de l'herbe

Verdissement des allées, trottoirs et autres surfaces stabilisées

Sur les surfaces gravillonnées, sablées et schistées, initialement désherbées par des moyens mécaniques, thermiques ou manuels, les expériences de couverture du sol par l'herbe se multiplient aujourd'hui. La couverture, issue de semis ou d'enherbement spontané, est gérée par tonte.

Cette technique réduit la difficulté d'entretien liée à l'usage de la binette et améliore le bien-être du personnel. Sur certains sites, elle permet de réduire le temps d'entretien et offre une alternative là où le désherbage mécanique est techniquement difficile. L'enherbement permet aussi de rendre plus acceptable la présence d'herbes spontanées. Il permet ainsi de pérenniser le désherbage non chimique de ces sites.

Il est appliqué en ville ou dans les cimetières, où les expériences de gestion écologique sont nombreuses dans les allées secondaires et espaces gravillonnés ou sablés situés entre les tombes. Ainsi, dans les cimetières strasbourgeois, plus de 6 ha d'allées sont enherbées depuis 2011 avec un mélange de ray-grass, fétuque et trèfle (Flandin, 2015).

Prairies et fauche exportatrice

Les prairies eutrophisées sont riches en azote et phosphore issus de la fertilisation, des déjections ou de la pollution automobile et ses retombées azotées. L'eutrophisation favorise des espèces nitrophiles : ortie dioïque, gaillet gratteron, chardon des champs.

Pour limiter ces plantes et favoriser d'autres espèces plus intéressantes au plan écologique et esthétique, certaines collectivités appauvrissent les sols prairiaux avec une à deux fauches exportatrices par an.

À Lille, un passage peut avoir lieu fin juin/début juillet avant que les graines ne soient mûres, à une hauteur de coupe préservant les petits vertébrés. Le second passage a lieu en octobre. Résultat : sur des prairies initialement dominées par des espèces nitrophiles, on observe aujourd'hui l'épilobe hirsute, la reine-des-prés, la valériane officinale et l'ophrys abeille, orchidée protégée. À Arras, la fauche exportatrice des prairies a permis le retour du populage des marais et de l'orchidée Epipactis helleborine.

Vivaces et arbustes couvre-sol

À la place de gazons ou sols nus

Les plantes vivaces et arbustes couvre-sol sont des espèces ligneuses ou herbacées pérennes, de taille basse ou moyenne et de formes diverses. Si les plantes à port rampant sont majoritairement utilisées, il est aussi possible d'exploiter les plantes grimpantes de type lierres et chèvrefeuilles en les laissant au sol, voire certaines espèces à port dressé ou retombant. C'est le cas des végétaux ligneux buissonnants comme certains cultivars du chèvrefeuille arbustif, ou certaines graminées cespiteuses (à port en touffes caractéristique). De nombreuses espèces herbacées couvre-sol se multiplient très bien car elles sont drageonnantes, rhizomateuses ou stolonifères.

Les plantes couvre-sol sont souvent utilisées pour remplacer des gazons. Cela permet de supprimer des tontes là où celles-ci sont dangereuses ou malaisées : terre-plein central, bord de boulevard passant, parking, rond-point, talus de cours d'eau, espaces trop petits pour la tondeuse entre les tombes... Les gestionnaires notent un gain de temps d'entretien et de sécurité des agents.

En remplacement de gazons, les plantes gazonnantes ou rhizomateuses à installation rapide, de préférence à feuillage persistant ou semi-persistant et, pour certains sites, résistantes aux sels de déneigement, sont sélectionnées en priorité.

Certains gestionnaires privilégient les espèces basses pour faciliter le ramassage des déchets. Des espèces adaptées aux situations ombragées, comme la bugle rampante, la petite pervenche ou le lamier blanc, sont utilisées en sous-bois, sur des squares ou parcs ombragés ou sur les talus à l'ombre de bâtiments. D'autres, comme la verveine nodulaire, résistent sur les sols secs, piétinés et soumis au sel de déneigement de certains terre-pleins. Enfin, les sédums et la campanule des murailles, espèces basses, persistantes et tolérant les sols secs, sont adaptés pour les plantations entre les tombes.

En pied d'arbres ou en massifs

Les plantes couvre-sol sont aussi utilisées en pied d'arbres ou d'arbustes pour limiter le temps de désherbage manuel. Grâce à cette technique, certains gestionnaires constatent un gain de temps d'au moins 50 % pour l'entretien des pieds d'arbres.

La couverture végétale est préférée au paillage sur des sites à jets de mégots fréquents, à risques d'incendie. Elle est préférée au mulch si l'usage répété de ce dernier a trop enrichi le sol, favorisant le développement du chardon et de la ronce. Sur les sites soumis au piétinement, les espèces persistantes sont privilégiées.

En massifs, les plantes vivaces et arbustives couvre-sol peuvent remplacer les annuelles ou bisannuelles dont la part a diminué. Cela limite les coûts liés à l'achat de plants, aux temps de plantation, à l'irrigation et au renouvellement du paillage.

En pied d'arbres ou arbustes et en massifs, sont utilisés par exemple le bambou sacré, la bugle rampante, les céanothes rampants et arbustifs, les chèvrefeuilles arbustifs et grimpants, les cotoneasters skogholm et dammeri, les fougères, les géraniums vivaces (ex. : 'Jolly bee' et 'Johnson's blue'), les graminées, notamment la fétuque bleue, les hellébores, les hostas, les lamiers (blanc, jaune et tacheté), les lierres, notamment le lierre arborescent, le lin de Nouvelle-Zélande, les lysimaques, les pachysandres, la petite pervenche, les renouées, notamment l'amplexicaule et celle de l'Himalaya, les rosiers couvre-sol, les rudbeckias, les sédums, la symphorine rampante, etc.

Critères de choix variés

Les espèces plantées sont choisies selon l'effet souhaité et le type de sol. Sur les sites où l'effet esthétique conditionne le choix avec peu d'espèces couvrantes, le paillage complète la couverture du sol.

Mais le choix peut aussi porter sur des espèces de formes complémentaires pour un effet couvrant optimal. Par exemple, les graminées d'ornement cespiteuses sont complétées par des plantes à port rampant de type bugle ou lamiers. Pour maintenir l'aspect esthétique en hiver, les espèces caduques sont complétées par des persistantes. Les graminées restent visibles, de même que l'euphorbe des bois, la petite pervenche ou le lierre grimpant. Parmi les géraniums, il existe des espèces caduques (ex. : Geranium 'Rozanne') et d'autres persistantes (ex. : Geranium macrorrhizum).

Certaines villes intègrent des espèces favorables à l'entomofaune. C'est le cas à Lille avec l'achillée millefeuille, l'ail des ours, l'herbe aux goutteux panaché 'Variegatum', le lamier florentin et le lamier tacheté (Tison, 2016 - comm. pers.).

Certains souhaitent utiliser des espèces indigènes d'origine locale. Le Conservatoire botanique national de Bailleul (CBNB) déconseille la plantation d'espèces protégées, rares ou menacées, vu le risque de pollution génétique et de perte de spécificité de souches locales (Henry et al., 2011).

Dans le nord de la France, plusieurs espèces indigènes ont un intérêt potentiel pour la couverture du sol : l'achillée millefeuille, la bugle rampante, l'origan commun, le lamier pourpre, le lamier jaune, la petite pervenche, le lierre terrestre, le lierre grimpant, le lysimaque nummulaire, etc. Pour leur plantation, les écotypes locaux sont préférés. Mais, en France, les filières de production locale de plantes couvre-sol sont encore insuffisantes.

Résultats et règles pour le succès

Au final, les gestionnaires constatent une amélioration de la situation vis-à-vis des adventices annuelles grâce à l'usage de plantes couvre-sol vivaces ou arbustives.

Certaines vivaces indésirables de type chardon des champs, rumex, liserons, pissenlits ou chiendent rampant peuvent cependant exiger un désherbage manuel complémentaire. La présence du chiendent peut même s'avérer incompatible avec la mise en place de plantes vivaces couvre-sol. En effet, une fois installé dans un massif, il est très difficile à gérer, même manuellement.

En revanche, certaines espèces spontanées sont parfois acceptées, comme le géranium herbe-à-Robert ou la consoude. À Lille, une arrivée spontanée de ficaire dans un massif a été valorisée car elle participe à l'association végétale et est gérable par le jardinier. Par ailleurs, d'autres moyens de gestion des adventices complètent la technique.

Avant implantation d'un massif, le sol doit être nettoyé, par exemple par faux semis. La méthode consiste à travailler le sol plusieurs fois pour faire lever les graines et détruire les levées. Plusieurs mois étant nécessaires, il faut que la population accepte la présence de terre nue pendant ce délai. Un panneau informatif annonçant la plantation peut y aider, comme à Roubaix.

Pour assurer l'installation des plantes en limitant la concurrence des adventices, les plantations couvre-sol sont d'abord paillées et/ou désherbées manuellement, après une formation permettant aux jardiniers de différencier adventices et plants cultivés. La densité de plantation est aussi un levier pour optimiser la couverture végétale.

Ligneux contre invasives

La renouée du Japon et l'ailante glanduleux sont des espèces rhizomateuses ou drageonnantes capables de coloniser rapidement de grandes surfaces, manifestant ainsi un comportement invasif. Ces deux plantes étant héliophiles, certaines collectivités plantent des couverts ligneux concurrentiels après suppression des pieds d'ailante ou tiges de renouée. L'objectif est de créer de l'ombrage pour limiter les repousses.

Selon les sites, le saule marsault, le saule blanc, le noisetier, le chêne pédonculé, l'érable champêtre, le cornouiller sanguin, le frêne, le merisier et le peuplier tremble sont employés. Ces plantations peuvent être associées à des géotextiles.

Conclusion et perspectives

Pour gérer les herbes indésirables en espaces verts, les couverts végétaux ont un grand intérêt. Leur efficacité dépend du choix des espèces utilisées et de leurs conditions d'implantation, à adapter aux contraintes des sites : épaisseur du sol, piétinement, volume de la fosse de plantation, concurrence d'arbres, ombrage, facilité d'accès pour l'entretien etc. Les mélanges d'espèces permettent d'optimiser la couverture par complémentarité du port des plantes.

L'implantation sur un sol initialement propre est importante. En effet, certaines espèces vivaces indésirables sont très difficiles à supprimer une fois le couvert installé.

L'allélopathie est un mécanisme intéressant mais, sur le terrain, son effet est difficile à distinguer de l'effet de compétition. Il faut tenir compte des autres fonctions, objectifs et contraintes liés à l'utilisation des couverts.

Enfin, il convient de mettre en place une gestion globale des adventices, intégrant les couverts mais également d'autres techniques : désherbage manuel, paillage, travail du sol, etc.

En jevi, les couverts jouent la concurrence, parfois l'allélopathie

Les relations entre plantes sont basées sur des mécanismes de complémentarité mais aussi de compétition.

Une espèce peut être concurrentielle vis-à-vis de ses voisines pour l'eau, les éléments minéraux, la lumière ou l'espace, grâce à son potentiel de croissance aérienne ou racinaire.

Un mode de multiplication efficace, végétative ou par graines, peut aussi favoriser une espèce, de même qu'une adaptation à des conditions pédoclimatiques spécifiques. Enfin, une plante peut être localement dominante par son effet allélopathique.

L'allélopathie est un mécanisme naturel par lequel des plantes émettent des composés biochimiques qui limitent le développement d'espèces voisines. Ce mécanisme explique la prédominance d'espèces dans certains peuplements végétaux. Par exemple, en sous-bois, des substances émises par la callune et la myrtille perturbent l'installation de semis ligneux et peuvent expliquer certaines difficultés de régénération en forêt (Gallet et Pellissier, 2002).

Les effets allélopathiques, sur les espèces indigènes, du solidage du Canada Solidago canadensis peuvent expliquer en partie son caractère invasif (Abhilasha et al., 2008).

Des effets allélopathiques de couverts végétaux vis-à-vis d'adventices sont montrés en laboratoire, mais leur expression sur le terrain est aléatoire. Les composés allélopathiques sont émis par les racines et l'appareil aérien des plantes en place ou par dégradation des tissus végétaux (c'est le cas de la biofumigation, qui consiste à broyer et enfouir un couvert végétal à effet dit « assainissant »).

En jardins et espaces verts, certaines plantes comme l'épervière piloselle, des tanaisies, des thyms ou des sauges sont citées pour leur effet allélopathique (Vidril, 2016).

REMERCIEMENTS

REMERCIEMENTS à C. Colonna et A. Schwartz pour leur participation aux études de la Fredon Nord Pas-de-Calais sur les couverts végétaux en espaces verts ; aux personnes et structures ayant apporté leurs témoignages et informations : Conservatoire botanique national de Bailleul (CBNBl), Espaces naturels régionaux (ENRx), Ecowal, villes d'Arques, Arras, Brebières, Bruay-la-Buissière, Cuincy, Erquinghem-Lys, Gravelines, Hazebrouck, Le Touquet, Lille, Loos-en-Gohelle, Mazinghien, Norrent-Fontes, Roubaix, Saint-Omer, Wormhout.

RÉSUMÉ

CONTEXTE - Les plantes indésirables en espaces verts sont notamment gérées grâce à la couverture végétale du sol.

Les couverts végétaux agissent principalement par un effet de compétition vis-à-vis de la végétation spontanée, parfois également par un effet allélopathique.

RÉFÉRENCES - Les plantes couvre-sol sont utilisées en pieds d'arbres ou d'arbustes ou bien pour remplacer des gazons ou des massifs saisonniers. Les critères de choix des espèces sont discutés. La couverture végétale est aussi valorisée grâce aux plantations de ligneux contre les espèces invasives héliophiles, à l'engazonnement des surfaces stabilisées et à la gestion des prairies urbaines par la fauche exportatrice. La complémentarité des couverts avec d'autres moyens de gestion des adventices est abordée.

MOTS-CLÉS - Jevi, jardins, espaces verts, méthodes alternatives, couvert, allélopathie, adventice, plante indésirable, végétation spontanée, plante couvre-sol.

POUR EN SAVOIR PLUS

CONTACT : sophie.quennesson@fredon-npdc.com

LIENS UTILES : www.afpp.net (pour la communication complète)

www.fredon-npdc.com (pour la communication complète)

BIBLIOGRAPHIE : la bibliographie de cet article (5 références) est disponible auprès de ses auteurs (contact ci-dessus) et dans leur communication à la 6e Comappi de l'AFPP et de la Fredon Nord Pas-de-Calais (lien ci-dessus).

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