Cette présidence marque-t-elle la continuité ou le changement ?
« On reste dans la continuité. Nous allons poursuivre nos journées d'information et de formation. En général, nous en programmons deux à trois par an sur des thèmes comme la taille de formation, le haubanage, le secours... Elles sont ouvertes préférentiellement aux adhérents, mais les professionnels non adhérents peuvent y participer. Nous continuons aussi à être présents sur des manifestations professionnelles (Salonvert, championnats d'arboristes grimpeurs) ou grand public (journées de Courson). Un travail sur nos outils de communication (brochure d'information, site internet), engagé depuis plus d'un an, devrait se finaliser en 2011. »
Et en matière de nouveaux projets ?
« Chaque changement de présidence permet de créer une certaine dynamique sur de nouveaux projets. Dans le cadre de ce mandat, je souhaite développer les relations avec les jurys régionaux et départementaux des Villes et villages fleuris. C'est une dynamique développée dans la région du Sud-Ouest qu'il me paraît intéressant d'étendre à d'autres régions. Car c'est un bon moyen d'entrer en contact sur le terrain avec les communes et de prodiguer des conseils pour un entretien raisonné et de qualité du patrimoine arboré. »
Quels sont les objectifs en terme d'adhérents ?
« Nous ne visons pas une progression spectaculaire du nombre d'adhérents. Le contexte économique est difficile, en particulier pour les petites entreprises comme les nôtres. Mais être adhérent de Séquoia, c'est avant tout avoir le désir d'échanger et d'appartenir à un réseau dont l'objectif est la qualité. Nous souhaiterions une répartition plus homogène de nos adhérents sur le territoire national, avec idéalement un représentant par département. Actuellement, Séquoia compte une quarantaine de membres, avec une proportion importante en Île-de-France, dans le Sud-Ouest et la région Ouest. »