Au domaine, il y a 40 ha vinifiés en vins de pays. Je porte mes emballages et mes bidons de produits phytosanitaires vides à la décharge municipale. Ils sont alors incinérés en containers. Je fais cela après les avoir rincés deux fois à l'eau, cette eau de rinçage allant ensuite dans les appareils de traitement. Je stocke ces emballages dans un cagibi en grillage. Quand il est plein, je fais un voyage jusqu'à la décharge. Il y a quelques années, je possédais de vieux insecticides qui avaient vingt ans. Un ramassage devait être organisé sur le département mais le manque de moyens financiers a stoppé l'opération. La décharge municipale a bien voulu m'en débarrasser. Mais actuellement, je gère mieux mes stocks, tout d'abord pour limiter la pollution mais aussi parce que les produits sont chers. Je prévois au plus juste, quitte à me réapprovisionner au moment des traitements. Les bidons entamés sont réutilisés la campagne suivante.
Au domaine, il y a 40 ha vinifiés en vins de pays. Je porte mes emballages et mes bidons de produits phytosanitaires vides à la décharge municipale. Ils sont alors incinérés en containers. Je fais cela après les avoir rincés deux fois à l'eau, cette eau de rinçage allant ensuite dans les appareils de traitement. Je stocke ces emballages dans un cagibi en grillage. Quand il est plein, je fais un voyage jusqu'à la décharge. Il y a quelques années, je possédais de vieux insecticides qui avaient vingt ans. Un ramassage devait être organisé sur le département mais le manque de moyens financiers a stoppé l'opération. La décharge municipale a bien voulu m'en débarrasser. Mais actuellement, je gère mieux mes stocks, tout d'abord pour limiter la pollution mais aussi parce que les produits sont chers. Je prévois au plus juste, quitte à me réapprovisionner au moment des traitements. Les bidons entamés sont réutilisés la campagne suivante.