ImprimerNous brûlons les emballages vides après rinçage à l'eau. Ce rinçage nous permet de faire le plein des atomiseurs pour traiter la vigne ensuite. Nous jetons quelquefois ces emballages aux ordures ménagères mais plus généralement, nous les faisons flamber avec le bois de taille de nos abricotiers. Nous faisons cela sur des parcelles en friches. Actuellement, nous attendons un temps moins sec pour allumer nos feux. Je n'ai pas entendu parler de ramassage de produits phytosanitaires périmés dans la région. De toute façon, on essaie de finir les bidons entamés, c'est exceptionnel qu'un bidon reste en vidange. Cela arrive parfois avec le Roundup mais dans ce cas-là, on le réutilise toujours l'année suivante. On essaie de calculer au plus juste nos quantités de produits. Il nous en manque d'ailleurs souvent dans la saison et il faut se réapprovisionner. Nos produits entamés sont stockés dans un petit local de 10 à 15 m², aéré et qui ferme à clé.
Nous brûlons les emballages vides après rinçage à l'eau. Ce rinçage nous permet de faire le plein des atomiseurs pour traiter la vigne ensuite. Nous jetons quelquefois ces emballages aux ordures ménagères mais plus généralement, nous les faisons flamber avec le bois de taille de nos abricotiers. Nous faisons cela sur des parcelles en friches. Actuellement, nous attendons un temps moins sec pour allumer nos feux. Je n'ai pas entendu parler de ramassage de produits phytosanitaires périmés dans la région. De toute façon, on essaie de finir les bidons entamés, c'est exceptionnel qu'un bidon reste en vidange. Cela arrive parfois avec le Roundup mais dans ce cas-là, on le réutilise toujours l'année suivante. On essaie de calculer au plus juste nos quantités de produits. Il nous en manque d'ailleurs souvent dans la saison et il faut se réapprovisionner. Nos produits entamés sont stockés dans un petit local de 10 à 15 m², aéré et qui ferme à clé.