L'Adar ne prévoit d'accorder que 5,2 Meuros à la viticulture : 4,7 Meuros iraient à l'ITV et 500 000 euros à l'Entav. Or, jusqu'en 2004, ce dernier bénéficiait de 1,2 Meuros HT de taxes parafiscales. Des licenciements et un recentrage vers les missions statutaires sont à craindre. Les pépiniéristes, très attachés à leur institut, ne veulent pas d'une fusion avec l'ITV. Pour éviter cela, ils sont prêts à financer un tiers des besoins de l'Entav.