'Certes, ce n'est pas un accord parfait, mais il faut tenir compte du contexte général. Les Etats-Unis n'avaient que peu d'intérêt à signer. Ils auraient pu cesser de discuter, estimant qu'ils étaient allés au maximum des concessions. Nous aurions dû signer il y a dix ans. Mais nous étions trop exigeants à l'époque, forts d'une situation économique au beau fixe. Entre temps, des Américains ont déposé de nouvelles marques. C'est toujours plus d'usurpations dont on aura du mal à se débarrasser. Et nous n'avons pas de levier juridique pour leur interdire d'utiliser les semi-génériques. '