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archiveXML - 2005

Non à l'Inao

La vigne - n°171 - décembre 2005 - page 0

Début 2004, les vins de pays faisaient tout pour devenir ' signe officiel de qualité ', au même titre que les AOC. C'était lors de la discussion du projet de loi sur le développement des territoires ruraux. Cette année, une nouvelle fenêtre législative s'ouvrait à eux avec la loi d'orientation agricole. Mais leur enthousiasme est totalement retombé lorsqu'ils ont appris qu'ils seraient gérés par l'Institut national de la qualité. Cet institut n'est autre que l'Inao, aux missions élargies à l'agriculture biologique et aux labels rouges. ' S'il faut dix ans et seize commissions pour changer de cépage, c'est non ! ' En novembre, le conseil d'administration de la Confédération française des vins de pays s'est prononcé contre l'accession au rang de signe de qualité. Il est bien loin le temps où l'AOC était le summum !

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