Début septembre, le ministère de l'Agriculture a tranquillisé la Commission européenne. Il a garanti que les aides versées par la France aux exploitations en difficulté ne dépasseront pas 3 000 euros sur trois ans. Au-delà de ce plafond dit « de minimis », le versement d'aides est soumis à l'accord de l'Union européenne. Or, en juin, Dominique Bussereau annonçait que les caves apportant des vins à la distillation obtiendraient jusqu'à 5 000 euros d'aides nationales.
Reste une question : quelle promesse va-t-il tenir ?