Le plastique ôte le goût de bouchon

en bref
Thalès et la faculté d'oenologie de Bordeaux ont comparé différentes méthodes d'élimination des organohalogénés des vins. Ils ont enrichi un vin de Bordeaux à 20 ng/l en chloro et bromoanisoles. Il l'ont soumis, pendant sept jours, à différents traitements : 200 cm 2/l de plastique alimentaire, 0,5 l/hl d'huile de pépins, 2 g/l de granulats de liège, ou 0,5 l/hl de lait associé à 0,1 l/hl de crème. Seul le vin traité avec des feuilles plastiques est revenu au niveau de contamination du témoin.