Comme prévu, de nombreux moûts sont carencés en azote. Pourtant, début octobre, peu de fermentations alcooliques posaient des problèmes. « On a 65 mg/l d'azote, précise Bernard Galy, du BNIC, à Cognac. Ça peut suffire, mais on intervient en préventif avec de l'azote sous forme ammoniacale. » En Vallée du Rhône, dans le Languedoc et dans le Sud-Ouest, où les teneurs en azote sont assez faibles, on préconise des aérations régulières et des ajouts d'azote au cas par cas.