« En Chine, la Bourgogne ne souhaite pas suivre le chemin des Bordelais, explique Pierre-Henry Gagey, le président délégué de l'interprofession (BIVB). Nous ne voulons pas aller trop vite. Les Chinois sont prêts à payer pour nos vins, mais il faut se méfier de tout emballement. Le risque est de voir les prix monter trop haut. Nos clients habituels pourraient ne pas suivre. »