Fin février, l'Union des œnologues de France a lancé un appel de fonds auprès de ses adhérents pour soutenir le dossier d'évaluation du soufre biocide devant la Commission européenne. Les contributions financières sont déjà nombreuses et les œnologues espèrent récolter 10 000 à 15 000 euros d'ici juin. À cette date, la Commission devra avoir reçu le dossier d'évaluation, dont le coût est estimé entre 300 000 et 500 000 euros, si la filière veut continuer à désinfecter cuves et barriques au SO2.