“Le métier est de plus en plus dur. À cause de la crise, mais aussi des lourdeurs administratives. Les règles qu'on nous impose conduisent à une uniformisation des vins. Dans les côtes du Rhône, elles sont surtout adaptées aux coops qui sont majoritaires. J'ai l'impression qu'on gomme le vigneron et le terroir. Il faudrait d'avantage de solutions au cas par cas.