La filière viticole française a fait le choix de ne pas demander de droits à paiement unique (DPU). Ces aides à l'hectare existent dans d'autres secteurs agricoles, mais la viticulture a préféré défendre sa spécificité et donc le maintien de son OCM dotée de 208 millions d'euros cette année. Le 28 février, sur le pavillon du vin au SIA, porte de Versailles, à Paris, le ministre de l'Agriculture a confirmé que la demande « avait été entendue ». La filière aura son OCM vin, mais pas de DPU.