« Quand on commence à parler de cols et de capsules, on est dans le merchandising, on n'est plus dans le vin, produit culturel. Mais si ça permet d'exporter, pourquoi pas ? Et il vaut mieux que les jeunes boivent ça plutôt que des alcools et autres produits industriels. Le problème est que presque tous les pays du monde savent faire des rosés insipides et capsulés. »