Le lycée viticole d'Amboise (Indre-et-Loire) a planté 1 000 rosiers et plus de 3 000 plants de côt sur 50 ares. Cet essai, en lien avec l'IFV, a pour but d'évaluer l'intérêt des rosiers en lutte biologique. Ils pourraient en effet favoriser le développement d'Anagrus atomus, un insecte parasitoïde naturel de la cicadelle verte, et d'Ampelomyces quisqualis, un champignon parasite de l'oïdium. Afin de compenser la perte de rendement entraînée par les rosiers, le lycée envisage de distiller les pétales pour vendre de l'extrait de rose.