Propos tirés d'un article paru sur le blog de France 3 régions en réaction à la grêle qui s'est abattue samedi 28 juin en Bourgogne
Après une grêle, « à chaque fois, ils viennent tous nous voir, nous plaindre : "on va se mobiliser, etc." [promettent-ils]. Mais pour l'instant, zéro. On a eu zéro en 2012, zéro en 2013. En 2014, s'ils veulent qu'il y ait encore des exploitations familiales, il va falloir y aller. Je sais qu'il n'y a pas de sous dans les caisses, mais nous, on n'a jamais rien demandé. Mais, ce coup-ci, on va en demander. »
Thiébault Huber, président du syndicat des vignerons de Volnay, vis-à-vis des élus locaux
« Soit on laisse mourir les vignerons, soit on préserve l'agriculture et le monde viticole, car, outre les coûts de production, nous avons des taxes à payer, des coûts de fermage, etc. Cela crée un déséquilibre financier. »