La filière s'apprête à lancer son vaste plan de lutte contre le dépérissement du vignoble. Reste à le financer. Les interprofessions se sont accordées pour débloquer 1,5 million d'euros, soit 10 % du total des CVO collectées en France. Une somme insuffisante. Les professionnels se tournent vers l'État, lui demandant d'apporter lui aussi 1,5 million d'euros. L'IFV et le Cniv tentent également de mettre sur pied un programme européen pour obtenir des financements de la Commission.