Le 18 février, la Confédération des vins IGP de France a répondu, dans un communiqué, aux « nombreuses attaques et informations erronées de la Fédération nationale des crémants ». Le 2 février, cette dernière a posé un recours devant le Conseil d'État contre huit vins mousseux IGP, homologués en décembre dernier. Les IGP affirment que ces cahiers des charges démontrent, comme il est requis, le lien au terroir et l'antériorité de ces huit effervescents.