L'Association générale de la production viticole demande, par écrit, au ministère de l'Agriculture de prendre position sur l'obligation de porter des EPI dans les vignes traitées. En février déjà, l'AGPV s'était déjà exprimée sur la question. « Si un produit phyto nécessite un port d'EPI au-delà de son délai de rentrée, alors nous ne voulons pas qu'il bénéficie d'une autorisation de mise sur le marché », avait proposé l'association. « Maintenant, il faut que cela bouge », s'impatiente Stéphane Héraud, son président.