Hubert de Boüard, copropriétaire du château Angélus (premier grand cru A de Saint-Émilion), a perdu. Il poursuivait Isabelle Saporta pour diffamation. Celle-ci le décrit comme « le petit Machiavel du vin » dans son livre Vino Business et soutient qu'il a influencé le classement des crus de Saint-Émilion. La justice a considéré qu'elle donnait « une image extrêmement péjorative » mais non « diffamatoire » du vigneron.