La DGCCRF a contrôlé les pratiques oenologiques de 450 établissements (viticulteurs, coopératives, négociants et distributeurs de produits oeno). Chez un quart d'entre eux, elle a relevé des anomalies qui ont fait l'objet de poursuites. Les enquêteurs ont ainsi constaté des cas de mouillage, de chaptalisation illicite ou non conforme, d'incompatibilité entre l'appellation et le millésime annoncé. Ils ont également noté plusieurs cas de non-respect de la traçabilité.