Ces méthodes de protection des plantes, faut-il les nommer alternatives, complémentaires ou de biocontrôle, selon les vœux des uns ou des autres ? Au fond, peu importe. Le fait est que, loin de se cantonner à l'agriculture biologique, elles ont un bel avenir en agriculture conventionnelle, dans le cadre de la protection intégrée bien sûr. Regards croisés.

Rencontres

p. 12, colloque AFPP(1) à Lille sur les méthodes alternatives, ce mois de mars à Lille.

p. 16, évocation du colloque ABIM organisé par l'IBMA(2) en Suisse en octobre dernier.

p. 19, échos d'une tournée en Californie en décembre dernier. Décoiffant.

Travaux

p. 22, travail en verger sur la prophylaxie contre la tavelure du pommier.

p. 26, travail sous serre de tomate avec des auxiliaires contre la redoutable nouvelle mineuse Tuta absoluta. Les auxiliaires sont un trichogramme parasitoïde en appui à un miride prédateur.

p. 29, travail en laboratoire pour faciliter la mise à disposition d'un autre auxiliaire, encore un trichogramme mais celui-là contre le foreur ponctué de la canne à sucre.

p. 33, programme Gamour ; il s'agit de protection intégrée contre les mouches des légumes à l'île de La Réunion.

Acteurs

p. 38, organisation, projets et réalisations de la commission MPPI (Moyens de protection pour la production intégrée) de l'AFPP, issue de la commission Méthodes alternatives.

p. 40, partenaires et programme de PURE, nouveau programme de recherche européen visant le développement de la protection intégrée, après le bilan du réseau Endure.

<p>(1) Association française de protection des plantes.</p> <p>(2) International Biocontrol Manufacturers Association (Association internationale des fabricants de produits pour le bio-contrôle).</p>