Commençons par parler de maîtrise de ravageurs en général, avec l'évocation de deux catégories de moyens : les substances actives d'une part, les auxiliaires de lutte biologique d'autre part.
Outils de protection
p. 12, nouvelles substances
Certaines nouvelles substances présentées à la CIRA sont extraites de plantes et testées au laboratoire pour protéger des légumes après récolte, combattre les criquets ou encore la mineuse de la tomate Tuta absoluta, voire défendre les abeilles contre le varroa.
D'autres sont issues de la synthèse chimique et prêtes à l'application, voire déjà autorisées, en grandes cultures, en cultures spécialisées ou en traitement du sol pour le maïs.
p. 16, lutte biologique « classique »
La lutte biologique n'est pas toute la protection biologique, et une lutte biologique peut en cacher une autre. Présentation d'une forme très précise de cette lutte biologique : définition, histoire mais aussi, surtout, enjeux actuels.
Focus sur trois espèces
p. 21, face à Tuta absoluta
T. absoluta est l'objet de sept communications orales programmées à la CIRA. Présentation, avec pour chacune ce qu'on peut en tirer en pratique pour la production de tomates.
p. 24, face au méligèthe
Avant-goût des communications présentant les suivis en France et en Europe de la résistance du méligèthe du colza aux pyréthrinoïdes.
p. 26, face à Diabrotica
Diabrotica virgifera, bien sûr, la chrysomèle des racines du maïs. Où en est-on, que peuton faire ? Le point, argumenté.
Paradoxales cochenilles
p. 31, immobiles voyageuses
Des insectes « scotchés » à leur support sont des voyageurs au long cours. Démonstration de ce paradoxe au colloque Cochenilles qui se tient le 25 octobre, veille de la CIRA.
Placée, clin d'œil paradoxal aussi, en fin de dossier !