De 1995 à 1997, le lycée viticole d'Amboise et la société Elf Atochem Agri ont observé l'incidence de traitements à la bouillie bordelaise sur les vins de chardonnay et de chenin. Elle était appliquée à sa dose homologuée à deux reprises, en fin de saison avec le pulvérisateur du domaine du lycée. Les moûts ont donné des vins identiques. ' Les dégustateurs n'ont pas pu faire la différence entre le témoin et les modalités traitées au cuivre ', affirme Pascal Buron, le responsable du domaine viticole.