Vingt bouchonniers français, adhérents de la Fédération française des syndicats du liège, ont fait contrôler l'atmosphère de leurs sites de production et de stockage. En effet, le liège, matériau poreux, peut fixer les chlorophénols et les chloroanisoles, responsables des goûts de moisi, puis les relarguer dans le vin. Des pièges à la bentonite ont été installés. Selon l'analyse, les locaux sont indemnes de toute contamination atmosphérique. Les entreprises ont prévu d'effectuer cette mesure chaque année pour garantir que leurs bouchons sont exempts de contamination.