L'oïdium provoquant les drapeaux craint davantage les fongicides que celui qui s'attaque aux grappes. Il faut six à huit fois moins de triadiménol pour le détruire, quatre fois moins de penconazole et trois fois moins de l'une des deux strobilurines autorisées. L'Inra de Bordeaux n'a pas voulu dire s'il s'agit du krésoxim-méthyl ou de l'Az. L'Institut a testé la sensibilité des deux oïdiums au quinoxyfen sans trouver de différence.