Les budgets de promotion restent insuffisants

'Sur le marché anglais, une entreprise comme Gallo investit autant que l'ensemble des interprofessions françaises. Nous ne pouvons donc pas dire que nos budgets de promotion soient suffisants. Mais ils progressent, c'est déjà bien. Pour répartir les fonds de l'Onivins, le premier arbitrage se fait entre actions de filière et soutiens aux programmes des interprofessions. La priorité est donnée à celles qui augmentent leurs budgets propres. Nous avons aussi un souci de visibilité des actions financées. Si les interprofessions à petits budgets ont du mal à atteindre cet objectif, nous les incitons à se regrouper. Les moyens disponibles restent limités et doivent être utilisés au mieux. Les sommes destinées à la restructuration du vignoble, qui a été prise en charge par l'Union, devaient être réorientées sur les actions en aval. Il a fallu se battre pour en obtenir seulement une partie et pour les années à venir, rien n'est acquis d'avance. Le budget global de l'Onivins a progressé en 2002 grâce à une loi de finance rectificative, mais dans la loi initiale, il avait diminué. Restons vigilants ! '