Partout, les oenologues constatent une acidité plutôt élevée, voire très élevée dans certaines régions. En Anjou, en Alsace et dans les Bouches-du-Rhône, des désacidifications seront même nécessaires. ' Nos acidités sont de l'ordre de celles de la Champagne. Des malos devront se faire sur certaines cuves ', constate Olivier Naslès, oenologue dans les Bouches-du-Rhône. Dans le Beaujolais, les malos ont été très désacidifiantes et on se retrouve, au final, avec des acidités correctes.