' On ne parle plus d'irrigation, mais de gestion du stress hydrique ', expliquait Nétafim. Ses concurrents tenaient le même discours rassurant. Tous développent des goutte-à-goutte à faible débit et installent des compteurs qui enregistrent les apports d'eau, histoire de fournir des preuves à l'Inao. Autre tendance : le conseil. La jeune société Sféris, de Montpellier, mesure l'hydratation de la vigne pour calculer ses besoins en eau.