Pendant deux ans, Stephan Reuter, de l'université de Neustadt (Allemagne), a étudié l'influence du désherbage sur la vie microbienne. Il a comparé le désherbage mécanique et le désherbage chimique avec des produits foliaires d'une part, la viticulture écologique et la viticulture intégrée d'autre part. Les résultats n'ont pas montré de différences sur la biomasse microbienne.