Depuis 2001, l'interprofession champenoise suit douze parcelles, afin de voir s'il y a une relation entre les symptômes d'enroulement et les infestations de cochenilles ou de cicadelles. En 2003, les parcelles qui ont le plus extériorisé de symptômes sont celles qui hébergeaient de fortes populations de cochenilles les années précédentes.