Début avril, seules la France (pour 2 Mhl) et l'Espagne (6,6 Mhl) avaient transmis des demandes officielles de distillation de crise. Elles vont être examinées prochainement. La Commission pourrait réclamer des garanties aux demandeurs quant à leur volonté de réduire leur potentiel de production. En effet, l'Espagne a déjà souscrit pour 6,6 Mhl de distillation en alcool de bouche pour la campagne en cours.