' Ce plan s'intéresse à toute la viticulture française, explique Alain Vironneau, président du Syndicat des bordeaux. Mais il est insuffisant. Il faut avoir une attitude conquérante. Nos concurrents dépensent près de 30 % de leur budget en marketing. Il va falloir que l'Etat débloque des budgets en France, par région ou par bassin. Par contre, je suis satisfait de l'interdiction des replis. Le reste (pratiques oenologiques...) est logique. On ne fait que valider ce qui a déjà été acté à Bruxelles. Nous attendons que les décisions soient validées dans les délais fixés. '