Contrairement à l'an dernier, la France a dépensé, avant la date fatidique du 15 octobre, l'enveloppe européenne destinée à soutenir sa viticulture. Riche de 226,8 millions d'euros, elle a principalement servi à financer la restructuration (93 M€), puis l'investissement dans les chais (51,1 M€), la distillation des prestations viniques (36 M€) et la promotion dans les pays tiers (27 M€). L'aide à l'utilisation des moûts concentrés et la distillation de crise ont consommé 12,1 et 7,1 millions d'euros.